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ROCIO PEREZ, SOPRANO - PRESS
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PRESS QUOTES 2021

 

 

LA CENERENTOLA (CLORINDA) Gioachino Rossini

Teatro Real Madrid. Premières on September 23 & 27, 2021. Stefan Herheim, Director. Riccardo Frizza, conductor.

 

Cenizas con sentido

«... Un ejemplo de todo lo contrario son Carol García y Rocío Pérez, magníficas y sometidas a

un trajín escénico constante en sus apariciones, frecuentes caídas al suelo incluidas, lo que tiene especial mérito en el caso de la segunda, que está embarazada. La primera ya brilló fugazmente en su pequeño papel en Viva la Mamma! y aquí lo hace aún más, mientras que Pérez confirma que es una soprano segura, dúctil y con gran personalidad... »  El Pais, Luis GAGO. 24/09/2021

https://elpais.com/cultura/2021-09-23/cenizas-con-sentido.html

 

La Cenerentola en el Teatro Real: la vida es sueño… y a veces es una faena despertar

«... muy bien tanto Rocío Pérez como Clorinda y Carol García como Tisbe, muy entonadas en escena y estupendas vocalmente... » El Español, Jean Valjean. 24/09/2021

https://www.elespanol.com/cultura/musica/20210924/cenerentola-teatro-real-sueno-veces-faena-despertar/614558541_12.html

 

El milagro de 'La Cenerentola'

«... Muy bien Rocío Pérez y Carol García como las hermanas malvadísimas, a pesar de que la producción, tan recargada, apenas les dejaba espacio para lucirse... » OPERA ACTUAL (OA) - José María Marco. 24/09/2021

https://www.operaactual.com/critica/el-milagro-de-la-cenerentola/

 

Rossini infinito. Una 'Cenerentola' teatralmente filigranesca y vocalmente sugestiva en el Teatro Real 

«... Musicales, empastadas y divertidas la Clorinda de Rocío Pérez, sin su aria di sorbetto, y la mezzo Carol García como Tisbe... » La Vanguardia. Jordi Maddaleno. 25/09/2021.

https://www.lavanguardia.com/cultura/20210925/7746198/rossini-infinito.html

 

La Cenerentola : bacanal rossiniana en el Teatro Real

«... Las hermanastras Clorinda y Tisbe – Rocío Pérez y Carol García, respectivamente– funcionaron muy bien como dúo, sabiendo interpretar sus partes con gran precisión y un italiano impecable... » Bach track. David Santana Cañas. 27/09/2021.

https://bachtrack.com/fr_FR/critica-madrid-teatro-real-cenrentola-deshayes-korchak-sempey-girolami-frizza-herheim-september-2021

Vuelve Rossini al Real ...

«...Después de su magnífica actuación en el Peter Grimes de la temporada pasada, la soprano madrileña Rocío Pérez demostró una vez más, su camaleonismo y capacidades escénicas en una adecuadamente odiosa Clorinda, formando junto Carol García como Tisbe, una hilarante y apropiadamente ridícula pareja de repelentes hermanastras... » Codalaria. Raúl Chamorro Mena. 27/09/2021

https://www.codalario.com/la-cenerentola/criticas/critica-la-cenerentola-de-rossini-en-el-teatro-real-de-madrid_10387_5_32521_0_1_in.html

 

Canela fina | La Cenicienta de Rossini

«.. la seda en la voz de Rocío Pérez, que se afianza como imprescindible soprano...» LA RAZÓN. Luis Maria Anson. 27/09/2021.

https://www.larazon.es/opinion/20210928/h7ae7lrwqjabrjimx64jpajfru.html

 

La Cenerentola: ilusiones renovadas en el Teatro Real

«... Resulta sorprendente lo bien que mueve a los solistas y a los miembros del coro y lo poco que se nota en el excelente nivel técnico de muchos de ellos. Me quedo con el ejemplo que dan Rocío Pérez (Clorinda) y Carol García (Tisbe) que, a pesar de ir, venir, tirarse al suelo, levantarse o correr, mantienen un nivel vocal más que notable ...» El Correo. 04/2021

https://elcorreoweb.es/aladar/la-cenerentola-ilusiones-renovadas-en-el-teatro-real-MK7491358

 

 

 

RIGOLETTO (GILDA) Giuseppe Verdi

Opéra national de Lorraine. Première on June 22, 2021. Richard Brunel, director. Alexander Joel, conductor.

Richard Brunel met en scène et Alexander Joel dirige ce spectacle inventif et cohérent, impeccablement rythmé.

«...la jeune Rocío Pérez incarne une remarquable Gilda, rien moins que rossignol, avec du médium et du grave, un phrasé de styliste, des pianissimi de rêve, à peine gênée par les tensions du dernier acte...» Diapason, 25.06.2021

https://www.diapasonmag.fr/critiques/rigoletto-premiere-production-post-covid-a-nancy-33785

 

Le duc mène la danse, et les masques tombent

«...Rocio Pérez nous vaut une Gilda à peine sortie de l’adolescence, souffrant de sa réclusion par un père aimant et autoritaire. C’est là un grand soprano : la voix est agile et fraîche, malléable, aux aigus lumineux. Passionnément désespérée au dernier acte, c’est aussi une remarquable comédienne qui ne fait qu’un avec son personnage dont l’évolution est conduite avec artrebelle...» Forumopera. Yvan Beuvard. 26/06/2021

https://www.forumopera.com/rigoletto-nancy-le-duc-mene-la-danse-et-les-masques-tombent

 

Rigoletto, le bouffon verdien entre dans la danse

«...Le baryton forme le couple phare du spectacle avec Rocio Perez qui chante une Gilda toute pimpante. La jeune soprano, pleine d’alacrité vocale et scénique, est aussi fine et menue que son père impose une silhouette haute et sombre. Elle prête joliment une allure adolescente à celle qui se rêve devenir jeune ballerine. occasion pour la chanteuse de vocaliser sur pointes la fin de son très beau Caro nome rebelle ...» Scènebeb.fr. Christophe Candoni

https://sceneweb.fr/richard-brunel-met-en-scene-rigoletto-de-verdi-avec-juan-jesus-rodriguez-dans-le-role-titre/

 

Rocio Perez, irradiante Gilda

«...Mais c’est assurément la Gilda de Rocio Perez que l’on retiendra. Avec sa ligne souple et lumineuse, conjuguant légèreté diaphane et couleurs chatoyantes du timbre, dans un bel canto d’une belle pureté, la soprano espagnole magnifie la fragilité de la jeune héroïne, jusque dans des modulations distillées avec un remarquable instinct musical et expressif rebelle ...» Toute la Culture. Gilles Charlassier. 26/062021

https://toutelaculture.com/spectacles/opera/rocio-perez-irradiante-gilda/

 

Le Rigoletto de Brunel : pas de deux à l’Opéra de Lorraine

«...Mais la grande réussite de cette production se situe bel et bien du côté du plateau vocal et instrumental, à commencer par Rocío Pérez (Gilda) qui bouleverse plus d’une fois l’auditoire. La soprano espagnole jouit d’une présence scénique aussi bluffante que sa voix sûre, droite, souple, d’une formidable justesse expressive (contrôle parfait des nuances et des ralentis) rebelle...» Bachtrack. Augustin Javel, 27/06 2021

https://bachtrack.com/es_ES/critique-rigoletto-joel-brunel-rodriguez-perez-letestu-tatarintsev-kose-opera-national-de-lorraine-nancy-juin-2021

 

Quel choc ! On aura rarement entendu un Rigoletto chanté avec une telle distribution…

«... A ses côtés, sa jeune compatriote Rocío Pérez (Gilda) n’est pas en reste en déployant des aigus d’une étonnante facilité lorsqu’elle est en pleine voix, même si on note une tendance à user d’un léger vibrato dans le médium. Mais ça n’est là qu’un détail tant l’ancienne chanteuse de l’Opéra Studio à Strasbourg n’en finit pas de séduire par sa présence dramatique ...» Classique news. Florent Coudrevat. 9/06/2021  

https://www.classiquenews.com/critique-opera-nancy-opera-national-de-lorraine-le-25-juin-2021-verdi-rigoletto-alexander-joel-richard-brunel/

 

PETER GRIMES (1st Niece) Benjamin Britten

Teatro Real Madrid. Première on April 2021. Deborah Warner, director. Ivor Bolton, conductor.

The martyrs and the oppressed: Peter Grimes at Teatro Real Madrid

«... Of the other characters, the tragic power of Christopher Purves' recitative as Balstrode is outstanding as he encourages Peter to disappear, as is the sensual mischief of the two nieces, played by Rocío Pérez and Natalia Labourdette. The evocative women's quartet in the second act, reminiscent of Strauss, demonstrates the impeccable quality of the female cast ...» Bachtrack. Juan José Freijo. 21/04/2021

https://bachtrack.com/critica-madrid-teatro-real-peter-grimes-clayton-bengtsson-purves-bolton-warner-april-2021

 

Superb supporting roles

«... Christopher Purves as Captain Balstrode, Catherine Wyn-Rodgers as Auntie, John Graham-Hall as Bob Boles, Clive Bayley as Swallow, Rosie Aldridge as Mrs. Sedley, James Gilchrist as Reverend Horace Adams, Jacques Imbrailo as Ned Keen, Barnaby Rea as Hobson, and Rocio Perez and Natalia Labourdette as the nieces, were all superb in their supporting roles ...» Operawire. Mauricio Villa. 28/4/2021

https://operawire.com/teatro-real-de-madrid-2020-21-review-peter-grimes/

 

Un triomphe pour Peter Grimes au Teatro Real

«... Nous pourrions aussi parler plus en détail de la rigueur extravertie de Rosie Aldridge, de la verve de Catherine Wyn-Rogers, des pétillantes Rocío Pérez et Natalia Labourdette, de l’intense obstination de James Gilchrist, de l’édifiante vérité auto-proclamée par John Graham-Hall, ou de la forte crédibilité de Clive Bayley ...» Opera-online. Thibault Vicq ...» 27/04/2021

https://www.opera-online.com/fr/columns/thibaultv/un-triomphe-pour-peter-grimes-au-teatro-real

 

Las raices del dolor

«... El joven Imbraillo, por su parte, hace un Ned fuera de serie, y las ‘sobrinas’ están muy bien cantadas y actuadas por Rocío Pérez y Natalia Labourdette ...» Mundoclassico. Jorge Binaghi. 30/04/2021

https://www.mundoclasico.com/articulo/34750/Las-ra%C3%ADces-del-dolor

 

Estampa marina a falta de grises de Benjamin Britten

«... Mención especial para las dos jóvenes «sobrinas»: Rocío Pérez y Natalia Labourdette, saladas y en su sitio, también como actrices ...» La Razon. Arturo Reverter. 20/04/2021

https://www.larazon.es/cultura/20210420/5ojcexeokreffm4dmthmxjo2hu.html

 

Une distribution insurpassable pour la chasse au bouc émissaire

«... Enfin, on ne verra pas souvent une définition, une caractérisation des deux nièces aussi abouties que dans la direction d’acteur de Barbara Warner, avec les voix déjà très importantes des jeunes sopranos madrilènes Rocío Pérez et Natalia Labourdette. Ce sont, tous, des voix surgissant de la foule des voisins, du chœur. Concertonet ...» Santiago Martín Bermúdez. 19/04/2021

http://www.concertonet.com/scripts/review.php?ID_review=14583


‘Peter Grimes’: el chivo expiatorio

«... Y no creo que sea fácil caracterizar como aquí a las sobrinas de Aunti, bien dotadas las voces de las jóvenes sopranos Rocío Pérez y Natalia Labourdette, de ágil movimiento escénico (no acaban de nacer para la ópera) ... » Scherzo. Santiago Martin Bermúdez. 20/04/2021

https://scherzo.es/madrid-peter-grimes-el-chivo-expiatorio/

PRESS QUOTES 2020

 

 

D I T T I C O

PRIMA LA MUSICA E POI LE PAROLE (TONINA) Antonio Salieri & DER SCHAUSPIELDIREKTOR (FRAU HERZ) W.A. Mozart.

Teatro La Fenice, Sala Malibran. Première - October 9, 2020. Italo Nunziata, director. Federico Maria Sardelli, conductor.

 

Duelli fra musici in scena alla Fenice

« Ben assortito il quartetto di interpreti per Salieri con un compassato Szymon Chojnacki come maestro di cappella, uno spiritoso Francesco Vultaggio come poeta, Francesca Boncompagni come Donna Eleonora che si vorrebbe più primadonna anche sul piano vocale, soprattutto dovendo fare i conti con la scintillante Rocío Pérez come Tonina. Più composito il cast per Mozart che vede ancora le due primedonne Rocio Perez scioltissima anche come Madame Herz ... »

https://www.giornaledellamusica.it/recensioni/duelli-fra-musici-scena-alla-fenice. 10/10/2020 - STEFANO NARDELLI

 

 

 

TITLE-ROLE IN DINORAH OU LE PARDON DE PLOËRMEL, Giacomo Meyerbeer. Deutsche Oper Berlin on March 4 & 7, 2020. In concert.

Enrico Mazzola, conductor.

 

Triunfo español en la «Dinorah» de Meyerbeer de la Deutsche Oper Berlin

« La cancelación de la soprano francesa Sabine Devieilhe, como consecuencia de su reciente alumbramiento, conllevó su sustitución por la soprano española Rocío Pérez, que, a su vez, ha sido miembro del ensemble del teatro. La madrileña logró un triunfo de ley cimentado en su exultante juventud, encanto escénico, feminidad y una sincera comunicatividad, manteniéndose en todo momento alejada de la cursilería que acecha a este personaje de Dinorah. Una muchacha a la que han abandonado en plena boda, pues su prometido ha marchado en busca de un tesoro y que, delirante, dialoga con una cabra y con su propia sombra. En lo vocal, Pérez exhibió un timbre, sin especial singularidad, pero lozano y cristalino de soprano ligera, bien timbrado y fácil en la zona alta, además de unos modos canoros refinados, imprescindibles en el canto francés. La soprano madrileña apoyada en una emisión muy flexible prodigó apreciables filados y una estimable coloratura, particularmente notas picadas, arpegios, escalas y efectos eco, no así los trinos (¡Cuesta tanto escuchar hoy día un trino como Dios manda!), que le garantizó una gran ovación en el vals de la sombra, pieza en la que se han prodigado, ya sea en concierto y/o en grabación, grandes divas de la historia ...» 

https://www.codalario.com/dinorah/criticas/critica-triunfo-espanol-en-la-dinorah-de-meyerbeer-de-la-deutsche-oper-de-berlin_8967_5_27803_0_1_in.html

 

Dinoroah – deutsche Oper Berlin– Mazzola, Perez, Talbot, Mengus

« Tras la cancelación de la inicialmente prevista Sabine Devieilhe, la madrileña Rocío Pérez se hizo cargo de la complicada parte de Dinorah, suponemos que en un lapso de tiempo corto de preparación y estudio. Pero no hubo ningún atisbo de improvisación o temor en su interpretación, la soprano consiguió dominar cada una de sus intervenciones con el más sorprendente aplomo. Su timbre bello, cristalino y magníficamente proyectado nos hizo recordar a las grandes ligeras pretéritas de nuestro país; aquellas Barrientos, de Hidalgo, Galvany o Huguet, que dejaron grabaciones imperecederas que aún a día de hoy se escuchan con la más grande admiración. Nuestra soprano aportó además una dicción impoluta y un fraseo inmejorable más allá del simple vehículo de virtuosismo y lucimiento, desde la hipnótica berceuse con que se inicia la ópera, pasando por el hilarante dúo con Corentin o el patetismo de la romanza del acto segundo acto, hasta la culminación de la gran escena de la sombra, que el auditorio berlinés premió con la más importante ovación presenciada durante estos días de fiesta meyerbeeriana. ¡Brava!...»

https://clubdeopera.com/dinorah-deutsche-oper-berlin-mazzola-perez-talbot-mengus/ - 17.03.2020

 

Dinorah : Endlose Suche nach einer Ziege

« Im Vorfeld der Aufführung gab es Absagen von Sängern, die das Haus aber gut kompensieren konnte. Die junge spanische Sopranistin Rocío Pérez (Dinorah) an der Deutschen Oper keine Unbekannte, bringt ihren jugendfrischen, höhensicheren Sopran als großes Plus der Aufführung ein. Dass sie auch eine hübsche Frau ist, und ein sehr raffiniertes Abendkleid trägt, ist auch nicht von Nachteil ...»

https://www.peter-sommeregger.de/dinorah-endlose-suche-nach-einer-ziege/ - 06.03.2020

 

Ziegträumend: Meyerbeers „Dinorah“ an der Deutschen Oper

« In der Titelrolle aber gefällt die junge spanische Sopranistin Rocio Perez. Als Darstellerin ist sie so witzig wie sexy, und ihre Koloraturen sitzen alle am rechten Fleck. Perez schmollt und schmachtet, spinnt und sehnt derart, dass man sie einfach lieben muss. Köstlich, wie sie zunächst mit innigen Berceuse-Tönen an ihre im Schlummer wiedergefundene Ziege Bellah auftritt. Im Encore-Duett mit Corentin umschmeicheln die Stimme von Perez und die Klarinette des Orchesters einander. Lustig zu lesen, dass Perez gelernte Klarinettistin ist. Und die artistische, facettenreiche Schatten-Arie im zweiten Akt ist ein echter Knaller ! »

https://hundert11.net/ziegtraeumend/

 

Und noch mehr Meyerbeer: Premiere Dinorah an der Deutschen Oper Berlin

« Kurz und gut, die Titelheldin Dinorah hat ihren Verstand verloren, weil ihr Bräutigam unter die Schatzsucher gegangen ist, und streift nun verwirrt durch die bretonische Landschaft. Mit beweglich-leichtem Sopran singt Rocío Pérez diese hochgelegene Partie, Pérez‘ Stimme tönt spontan und präzise, auch in den charmanten Rezitativen, den von der Rolle geforderten naiven, jugendlichen Klang trifft die Spanierin punktgenau, wenn man auch tonliche Rundung und Phrasierung vermissen mag und Schärfen im Forte hört. In der entzückenden Arie Ombre légère, einem späten Beitrag zum Genre der Wahnsinnsarie, lässt Pérez die Koloraturen am passablen Schnürchen laufen ... »

https://konzertkritikopernkritikberlin.wordpress.com/2020/03/05/deutsche-oper-premiere-dinorah/

 

Le Pardon de Ploërmel in Berlijn

« Pérez is een schitterende Dinorah. Niet alleen omdat ze de adembenemende coloraturen van "Ombre légère" loepzuiver zingt, maar ook omdat ze daar nog allerlei kleuren en dynamische variaties aan toevoegt zodat er echo-effecten ontstaan terwijl ze met haar schaduw danst. In het middendeel van de aria, "A chaque aurore je te revois", verandert ze nog eens haar expressie. De romance "Me voici, Hoël doit m'attendre ici" was een visioen van haar geliefde die de aria voorafgaat. Ze bewees dat een coloratuuraria zoveel meer kan zijn dan wat loopjes en hoge noten. Buiten de beroemde aria, had Rocío Pérez haar uitdrukkingsmogelijkheden al laten bewonderen in het slaapliedje "Bellah, ma chèvre chérie" waarmee ze haar verloren geitje in slaap wieg...»

http://www.kanevas.be/igi/?id=2114 - 08.03.2020

 

DIE ZAUBERFLÖTE, KÖNIGIN DER NACHT, Wolfgang Amadeus Mozart. Teatro Real de Madrid. Premiere, January 19, 2020

Ivor Bolton, conductor. Barrie Kosky and Suzanne Andrade, directors.

« En la sección femenina comenzamos con Rocío Pérez (Reina de la noche) quien sustituyó a Albina Shagimuratova debido a la indisposición de esta. Aunque realizó un trabajo de gran nivel ...»

https://bachtrack.com/critica-madrid-teatro-real-flauta-magica-andrade-kosky-bolton-barbeyrac-fritsch-perez-wolf-january-2020

 

 

 

EARLIER PRESS QUOTES

 

TRES SOMBREROS DE COPA (Ricardo Llorca), Paula, Teatro de la Zarzuela, Madrid. Première - November 12, 2019

Director : José Luis Arellano. Conductor : Diego-Martin Etxebarria

La nueva ópera de Llorca triunfa en el Teatro de La Zarzuela

« El rol protagonista de Dionisio fue llevado a escena por un versátil Jorge Rodríguez-Norton que exhibió una interpretación escénica y canora magnífica. Al mismo nivel se presentó la joven soprano Rocío Pérez dibujando una vibrátil Paula con gracia, desparpajo y sensibilidad, demostrando grandes tablas sobre el escenario...»  

https://www.operaactual.com/critica/la-nueva-zarzuela-de-llorca/

 

 

FALSTAFF (Giuseppe Verdi), Nannetta, Teatro Real de Madrid. Première - April 23, 2019

Director : Laurent Pelly. Conductor : Daniele Rustioni.

« Gemma Coma-Alabert Rocío Pérez se lucieron como Mrs. Meg Page y Nannetta destacando por naturalidad y estilo.  El maestro italiano Daniele Rustioni exprimió con gran maestría e inteligencia la paleta orquestal verdiana, siempre con máxima atención a los cantantes. ¡Más sorpresas, por favor! .»

https://www.operaactual.com/critica/madrid-un-debut-sobresaliente/

 

 

DON PASQUALE (Gaetano Donizetti), Norina, Opéra de Metz. Première - November 17, 2017.

Director : Emmanuel Rousseau. Conductor : Cyril Englebert.

 

Deux gangsters sinon rien

« N’ayant froid ni aux yeux ni ailleurs, la Norina de Rocio Pérez apparaît en guêpière fuschia. Rayonnante, d'une plastique à damner le diable, leste, sans scrupules, redoutable séductrice, infatigable dévoreuse de jeunes hommes, elle use et abuse de ses charmes vénaux tout au long de l’ouvrage. Ainsi, lorsqu’elle se mue en Sofronia, sainte Nitouche, puis dragon après signature du contrat, la provocation de Don Pasquale fait toujours partie de sa panoplie. Le chant est sensuel, charnu, coloré, conduit avec art dès sa première apparition : la séduction comme l'autorité, la fraîcheur et la grâce,à la différence du jeu dramatique souvent dévergondé que lui impose la mise en scène. C'est la révélation de cette production : les qualités vocales exceptionnelles, le jeu dramatique forcent l'admiration. Les ensembles sont autant de réussites musicales : Duos, trios, quatuor du II, comme le finale de l'opera buffa nous réjouissent, sans réserve aucune. »

https://www.forumopera.com/don-pasquale-metz-deux-gangsters-sinon-rien | par Yvan Peuvard, 17 Novembre 2017

 

Un Don Pasquale acidulé à l’Opéra-Théâtre de Metz

« Le choix de mise en scène est toutefois surprenant pour une Norina qui assure être « prête à tout sauf trahir son amour » mais flirte délibérément avec Malatesta et accepte le marché contre quelques billets. Ce travail sur le personnage n’empiète cependant pas sur les qualités vocales du superbe duo entre Alex Martini et Rocío Pérez qui leur vaut les applaudissements du public.. »

https://www.olyrix.com/articles/production/1504/donizetti-don-pasquale-opera-theatre-metz-17-novembre-2017-englebert-rousseau-lambert-govi-perez-kabongo-martini-belle-choeur-metropole-orchestre-national-lorraine-article-critique-chronique-compte-rendu

 

A Metz, Don Pasquale chez Arlequin, Pierrot et Colombine

« ...Dotée elle aussi d’un timbre agréable, Rocio Perez est une piquante et légère Norina à l’agréable physique et au jeu très investi. » Pierre Degott, 21.11.2017.

https://www.resmusica.com/2017/11/21/a-metz-don-pasquale-chez-arlequin-pierrot-et-colombine/

 

 

L'OCCASIONE FA IL LADRO, Gioachino Rossini, Berenice, Teatro La Fenice, Venice. Première - September 2, 2017.

Conductor : Michele Gamba. Director : Elisabetta Brusa

 

L’Occasione fa il Ladro: Solid Ensemble & One Major Standout Lead Strong Presentation of Rossini Comedy

« ... In the second part, “Deh non tradi…,”  when Berenice offers her hand in marriage to Alberto, Rocio Pérez displayed a deep sensitivity, underpinned by beautiful phrasing and a fine legato. In the third part, “Io non soffro…, Berenice finally loses her composure, angered by the ridiculous goings-on, and Pérez magnificently displayed her wonderful coloratura and vocal agility to demonstrate Berenice’s feelings, capping it with a wonderfully sustained rising vocal climax. Pleasing as her performance was, there was an unsatisfying element, in that Berenice is not a big role and one was left wanting to hear more! ...» Alan Neilson. 09.03.2017.

https://operawire.com/la-fenice-2017-review-loccasione-fa-il-ladro-solid-ensemble-one-major-standout-lead-strong-presentation-of-rossini-comedy

 

« ... Molto applaudita Rocío Peréz, un soprano leggero, piuttosto esile nei centri ma capace di suoni ben proiettati nel settore acuto e sopracuto. Non ha forse la tempra e i lampi viperini della primadonna buffa, ma risolve in modo apprezzabile la densa coloratura di Berenice, è espressiva nei passi languidi e stilisticamente sempre sorvegliata ...» Connessi all’Opera, Roberto Mori, 3 Sept. 2017.

 

 

ERMIONE, Gioachino Rossini, Cleone (role debut) : Opéra de Lyon, November 13 & TCE Paris, November 15, 2016 - In concert.

Conductor : Alberto Zedda

« ... la jeune et charmante Rocio Perez (Cléone) apporte un vent de fraîcheur avec sa voix agile et chantant e...» Ôlyrix / Damien Dutilleul, 17/11/2016

« ... Les autres interprètes féminines, Rocio Perez (Cleone) et Josefine Göhmann (Cefisa), complètent une distribution de très grande tenue, entourée par les chœurs de l’Opéra de Lyon, excellemment préparés, comme toujours, par Philipp White ...» Classiquenews / Jean-François Lattarico, 16/11/2016.

« ... Dans les rôles secondaires, la jeune Rocio Perez mérite d’être remarquée en Cleone, par la projection facile de sa voix belle et assurée ...» Ôlyrix / Emmanuel Deroeux, 14/11/2016

« ... Rocio Perez est une Cléone à la voix rayonnante, à la diction parfaite, incarnant remarquablement cette forme d’équilibre que symbolise le personnage dans l’économie du drame ...» (Forumopera / Patrice Malkani, 13/11/16).

 

 

IL MATRIMONIO SEGRETO, Dominico Cimarosa, Carolina, Opéra du Rhin, Studio, Première March 20, 2015.

Cconductor : Patrick Davin

« ... L'admirable intensité vocale de la toute jeune soprano Rocío Pérez épate d'autant plus qu'elle manie chaque saut d'intervalle à l'image de son jeu théâtral riche et spontané.  ...» Forumopera / Mélanie Defize, 31/03/2015

 

 
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