EVE-MAUD HUBEAUX, MEZZO-SOPRANO - DISCOGRAPHY | ||
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Isis, by Jean-Baptiste Lully : released on November 15, 2019 | ||
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Rédemption, by César Franck : released October 2019 | ||
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Penthesilea, by Pascal Dusapin : released September 2019 | ||
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Le Comte Ory, by Gioachino Rossini : released March 2019 | ||
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Ascanio, by Camille Saint-Saëns : released October 19, 2019 | ||
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Press quotes« Egalement énoncé dans le mystère, et avec plus d’ampleur comme de richesse expressive, le second lied pour mezzo, s’insinue dans l’obscurité ; d’une tendresse préservée, la mélodie y laisse peu à peu s’affirmer la gravité de la tragédie, celle d’un lyrisme serein mais sans espérance et d’une insondable tristesse : en dialogue avec le hautbois, le mezzo charnu de la jeune Ève-Maud Hubeaux, talent prometteur, et révélation confirmée de l’album, construit avec intelligence et nuances, un parcours sans aspérité, d’une onctueuse mélopée. (…) « De la beauté », pour soprano, est servi par l’accord encore plus harmonique entre instruments (flûte, cor) et voix soliste (mezzo-soprano) : la voix se révèle par une ligne suave et timbrée, même si elle ne mord pas réellement dans l’allemand, manquant à notre avis de consonnes, mais l’intention, la couleur, les passages sont de haute tenue. Certainement la séquence la plus réussie, en totale symbiose avec l’orchestre, lui aussi ciselé, nuancée, chantant, amoureux, affectueux. (…) Cerise sur le gâteau, on peut en dire de même du mezzo voluptueux, ample, remarquablement couvert en particulier dans cette séquence, la plus raffinée, du mezzo aux nuances qui se révèlent, d’Ève-Maud Hubeaux. La résurrection et le miracle conclusifs peuvent se réaliser dans les dernières mesures, en un murmure, justement énoncé, … et des plus énigmatiques. Bel envoûtement. » ClassiqueNews.com, Ernst von Beek, 21.09.2017« Mais ce n'est pas que l'orchestration qui impressionne dans cette réalisation car les performances du ténor et de la mezzo sont de tout premier ordre, dans un environnement acoustique où ils prennent presque parfois le pas sur l'orchestre, ou que leur chant se mêle aux instruments de façon presque fusionnelle. Le travail d'orchestration est vraiment remarquable, ainsi que la prise de son (encore une fois), sans doute facilitée par l'effectif plus restreint, mais le résultat est indéniablement là : cet enregistrement touche au plus profond de nos âmes et l'objectif est indubitablement atteint. Cela mérite sans hésiter un Grand Frisson, puisqu'ici cette distinction semble ici presque un pléonasme... Une très belle découverte ! » Audiophile Magazine, Joël Chevassus, 10.2017«...Conception que rehausse la splendide prestation au velours détaché de la toute jeune Ève-Maud Hubeaux (magnifique Brangäne à Lyon au printemps dernier) et du prometteur ténor finlandais Jussi Myllys ... » Resmusica Le 8 octobre 2017 par Jean-Luc Clairet. (http://www.resmusica.com/2017/10/08/un-chant-de-la-terre-de-chambre-en-cinemascope/)
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SOUND BITESListen to Ève-Maud Hubeaux' interpretation of Cruda sorte, recorded at the Final Round of the 32nd International Hans Gabor Belvédère Singing Competition (July 2013, Amsterdam, of which she was awarded with the 2nd Prize and the Special Kirsten Flagstad Grant. |